dimanche 17 avril 2016
mardi 5 avril 2016
vendredi 26 février 2016
Saison 2016
Qui
veut jouer au Grand Méchant Loup ?
ou
Venez
écrire et vous amuser au Petit Chaperon Rouge
avec nous… |
Spectacle
interactif
En
10 ans de pratique du Camion-Chapiteau, qui implique d’accueillir
et de faire rentrer les gens dans « la salle », nous
avons développé un jeu interactif pour que cette entrée traite
déjà du thème du spectacle.
Déjà
au Théâtre 2/ 21, « faire la caisse » était
devenu un jeu avec les spectateurs arrivant.
Or,
nous avons découvert que les spectateurs étaient friands de ce jeu
avec eux, et c’est comme ça que nous avons tourné L’Avare
d’après Molière pendant 5
ans : à la Comédie de Genève, au Théâtre du Passage, à
Lausanne Estivale, au Théâtre de la Ville de Luxembourg et au
Festival de Villeneuve lez Avignon.
L’avare
étant tellement avare, et les moyens financiers du théâtre se
faisant rares, le spectateur se retrouvait à mettre la musique et à
jouer certains rôles pour aider la comédienne à raconter
l’histoire.
Bien
sûr, aucun spectateur n’est forcé à jouer : si l’un
coince, on en prend un autre.
Mais
l’on constate au gré de ces expériences que le spectateur est en
général heureux d’être en interaction avec le comédien, heureux
que l’histoire s’invente ensemble.
Peut-être
que rompre avec l’univers frontal de l’écran pour renouer le
lien social, y compris dans la forme théâtrale, devient un besoin
fondamental ?...
Le
Petit Chaperon Rouge
Cherchant
quelle histoire inventer avec le public, le besoin d’une référence
commune se fait sentir.
Or,
le conte de l’enfance est la référence commune
incontournable…Surtout lorsqu’il s’agit d’un des contes les
plus connus… Qui, à part peut-être un Japonais tombant par hasard
sur une représentation, ne connaît pas l’histoire du Petit
Chaperon Rouge ?
Cela
permet, puisque c’est connu depuis Perrault et Grimm, de s’amuser
à le détourner complètement : il faut bien sûr que le fameux
Chaperon soit un grand spectateur et non pas une petite fille.
Cette
distance d’étrangeté avec l’histoire initiale permet de mettre
en exergue le processus de l’invention de l’histoire :
comment allons-nous mettre en scène ce Chaperon…?
Cela
permet aussi de remettre en question nos certitudes : ce
Chaperon peut être un grand homme balèze…l’histoire se raconte
quand même, et même, elle provoque le rire…
Et
puis, le Petit Chaperon Rouge permet de traiter de la transmission de
la sexualité (Bruno Bettelheim), de la ruse, de la dissimulation
(Jack Zipes), tous thèmes fondamentaux.
Extrait
du texte
« Pourquoi
un chaperon, et pourquoi rouge, ça, je n’ai jamais su.
Peut-être
que les filles se protégeaient du froid comme ça à l’époque.
Et
peut-être qu’il fallait qu’elles soient vues par les voitures…
Oui,
comme ça, elles évitaient les accidents !
Paraît
que c’était un signe de progression sociale.
D’autres
(clin d’œil) disent
aussi que c’est le symbole de la sexualité !!!
J’vous
jure : ce qu’il ne faut pas entendre !!!
Bref…
Donc,
nous avons enfin un Chaperon Rouge. »
Une
adaptation de ce conte en spectacle interactif par un auteur vaudois
contemporain, voilà qui respecte la tradition orale des contes et
ses multiples versions…
Évolution
du matériel textuel
Après
avoir travaillé sur l'interaction avec le spectateur à travers
l'Avare
ou Isabelle Bonillo interprétait seule la célèbre pièce de
Molière en confiant tantôt un personnage à un spectateur, tantôt
à un arrosoir ou à une fleur en plastique, la nécessité d'une
plus grande souplesse du texte s'est fait sentir. En effet, pour
pouvoir poursuivre ce travail d'interaction plus en profondeur, il
est essentiel que le spectateur puisse non seulement agir mais aussi
réfléchir, inventer une partie de l'histoire ou en proposer sa
propre version. C'est là d'une part l'intérêt d'écrire un
spectacle basé sur un conte incontournable dont chacun connaît (ou
croît connaître) les grandes lignes mais également de constituer
un « matériel textuel » souple, pouvant s'adapter aux
différentes réactions et propositions du spectateur.
Nous
avions déjà entamé ce travail d'appropriation du conte
traditionnel avec le spectacle Blanche-Neige
et les sets de table où le
camion devenait cheval et où l'un des nains finissait par s'enfuir
avec la belle princesse, laissant le narcissique prince charmant sur
le carreau ! Il s'agit cette fois-ci d'aller plus loin encore en
laissant le spectateur découvrir lui-même les présupposés du
conte au fil de l'interaction et en le laissant chercher les
parallèles à tirer avec notre époque, notre société.
C'est pourquoi Isabelle Bonillo a choisi d'écrire un texte « en patchwork » où différentes parties se répondent sans être obligatoirement liées, dès l'écriture, par une trame narrative trop serrée qui contraindrait trop le déroulé du spectacle. Avec Qui veut jouer au Grand Méchant Loup ? la représentation sera différente chaque soir et l'histoire pourra évoluer selon la sensibilité et l'imagination des spectateurs présents, guidée par la comédienne qui mettra son expérience de l'écriture et de l'interaction au service des spectateurs devenus acteurs.
Qui
est le grand méchant loup ?
C’est
avant tout une figure emblématique du conte, particulièrement du
Petit Chaperon Rouge mais aussi des Trois Petits Cochons et de la
Chèvre de Monsieur Seguin. Il s’agit d’un personnage clairement
identifié comme prédateur par le lecteur et qui, pour dévorer
l’autre, a recours à toutes les bassesses. Pour ceci il est
facilement assimilé à des figures humaines comme dans la fable de
La Fontaine Le Loup et l’Agneau
où il devient juge. Dans la fable Le
Loup et le Chien il est au
contraire un maigre vagabond qui refuse de vivre attaché comme un
chien et préfère renoncer à la satiété pour préserver sa
liberté. Le loup aurait donc de l’éthique ?
Dans
le Petit Chaperon Rouge, l'héroïne vit un rite initiatique: qu’on
choisisse d’y lire l’initiation à la sexualité, au travail ou
simplement à l’indépendance. Or le premier personnage qu’elle
croise est ce grand méchant loup qui utilise l’astuce pour la
tromper et lui permettre de la dévorer non seulement elle, mais
également sa mère-grand. Il est donc clairement une représentation
de l’hostilité du monde extérieur, celui qui entoure la chaumière
du départ, lieu de l’enfance naïve et abritée des multiples
dangers de la vie. Mais, si le monde est réellement si dangereux,
qui en est la cause : les loups, pauvres bêtes menacées
d’extinction dont on ne compte plus en Suisse qu’une dizaine
d’individus ? Ou les hommes qui peuplent les villes, forêts
des temps modernes où l’on se fait manger à coup de contrats de
travail esclavagisants, de technologies déroutantes et de loyers
écrasants ? Et si nous étions tous au fond de grands méchants
loups ?
Intentions
de mise en scène
T-âtre
veut continuer à travailler avec son Camion-Chapiteau, qui permet
une indépendance de la programmation des salles pour assurer une
continuité de la recherche, mais souhaite aussi pouvoir garder le
lien aux salles et aux festivals.
C’est
pourquoi, ce spectacle est conçu pour être joué quasiment parmi
les spectateurs. Il pourrait se jouer parmi les sièges du public, ou
en rue avec les spectateurs autour, ou devant le Camion-Chapiteau
(avec ou sans Chapiteau, suivant le temps), transformé pour
l’occasion en Camion à Histoires.
La
boîte de la cellule sera la malle de grenier, d’où l’on sort ce
dont nous avons besoin (une capuche rouge, un pot de beurre, un
bonnet de grand-mère ou un sécateur pour le loup), mais aussi de
Camion de transport et d’espace de jeu pour la représentation.
Equipe
Ecriture,
conception, production, mise en scène : Isabelle
Bonillo
Retours à l’écriture (Dramaturge) : Stéfania Pinelli
Œil extérieur : Claire Wenger
Jeu : Isabelle Bonillo
Scénographie : Stéphane Le Nédic
Costumes : Coralie Chauvin
Eclairagiste : Clément Reber
Son : Reuben Bramley
Monteur Chapiteau : Yvan Schlatter
Administration : Samira Ben Mansour
Attachée de Presse et Diffusion : Corinne Uldry
Fiduciaire : Kontakriss
Photographie : Philippe Pache
DVD : Bastien Bron
Production : T-âtre
Retours à l’écriture (Dramaturge) : Stéfania Pinelli
Œil extérieur : Claire Wenger
Jeu : Isabelle Bonillo
Scénographie : Stéphane Le Nédic
Costumes : Coralie Chauvin
Eclairagiste : Clément Reber
Son : Reuben Bramley
Monteur Chapiteau : Yvan Schlatter
Administration : Samira Ben Mansour
Attachée de Presse et Diffusion : Corinne Uldry
Fiduciaire : Kontakriss
Photographie : Philippe Pache
DVD : Bastien Bron
Production : T-âtre
REPRESENTATIONS
Théâtre Waouw, Aigle : 17,18,19,20 mars 2016
Lausanne
Estivale : 15-21 juin 2016
Théâtre
de Colombier, Neuchâtel : 25 juin 2016
Théâtre
National de Luxembourg : 29, 30 juin 2016
Festival
de Villeneuve lez Avignon et Plage des six-Pompes :
2
semaines prises sur les 8-21 juillet et les 31 juillet-6 août 2016
CONTACTS
Isabelle
Bonillo, ibonillo@sunrise.ch,
tél 079/205 39 51
Corinne
Uldry, co.uldry@yahoo.fr, tél
079/422 43 91
Le chapiteau en salle |
Mise en place de la chambre de Mère-Grand |
Pendant les répéts, à Aigle |
mardi 15 décembre 2015
Le 16 décembre, des "Mots anti-maux" pour vous à Lausanne
vendredi 13 novembre 2015
A découvrir tout bientôt dans vos rues:
MOTS
ANTI-MAUX
par
T-âtre IBonillo
Une camionnette de 2m. de largeur,
5m.70 de longueur et 2m.60 de hauteur.
Que l’on gare sur n’importe quelle
place de la ville. Ou de la campagne, d’ailleurs.
Plutôt à un endroit où il y a du
monde. Comme un marché, par exemple.
Incursion de la fiction dans la réalité
extérieure.
Ilot d’utopie sous la forme d’un
des objets les plus communs de notre monde :
une camionnette.
Une plaque magnétique dessus qui
annonce :
« MOTS
ANTI-MAUX »
Qui vend des mots, comme on vendrait du
fromage.
Un panneau qui propose :
-Choisissez votre thème
-Rentrez dans le camion par
l’arrière
-Une comédienne vous le jouera
(Durée : 5 mn. environ)
Un comédien, en salopette de
mécanicien, et avec un orgue de barbarie portable, rabat le passant,
l’invite à choisir son thème et à entrer dans la camionnette.
Sur le panneau, une liste de thèmes :
- Lettre d’amour
- Bordée d’insultes
- Sur le couple
- Sur la rupture
- Sur le licenciement
- Sur la famille
- Sur la solitude
- Sur la crise existentielle
- Sur la maladie
- Sur la mort
Le passant rentre dans la
camionnette par l’arrière.
Ambiance de « voyante sortie
du passé » : chaleur et petit éclairage.
Une chaise de camping pour le
spectateur.
La comédienne lui dit le texte
choisi.
Des textes de quelques minutes qui font
du bien :
- Lettre de Georges Sand à Alfred de Musset : 2mn.15
- Liste d’insultes du Capitaine Haddock de Tintin : 3 mn.40
- L’amour en mariage de Marius Morin : 1mn.30
- Lettres entre Mme Désespérée et M. Support technique : Sans auteur, trouvé sur Internet : 2mn.40
- Lettre d’Albert Einstein à Mileva Maric : 50 secondes
- L’envol de Jeannine Bartes : 1mn.
- Les Divorcés de Michel Delpech : 1mn. 35
- Lettre de licenciement à l’employé entarteur : sans auteur, trouvé sur Internet : 45 secondes.
- Il ne rentre pas ce soir, Eddy Mitchell : 1mn.10
- Lettre à sa fille Bertl, Karl Valentin : 2mn.40
- Ma solitude, Georges Moustaki : 2mn.45
- Ma liberté, Georges Moustaki : 2mn.30
- Les Lois de Murphy : 3mn.20
- Lettre à mes cellules, Mary Lequin, thérapeute de soins holistiques : 3mn.30
- Modèle de lettre de soutien à un ami malade : sans auteur, trouvé sur Internet : 1mn.50
- 14 super trucs sur le vieillissement : sans auteur, trouvé sur Internet : 1mn.
- Je suis juste de l’autre côté du chemin, poème de Henry Scott-Holland : 50 secondes
- Comme un voilier part dans la lumière du matin, William Blake : 40 secondes
Le passant ressort par la porte
coulissante, sur le côté de la camionnette.
Collecte.
En espérant que cela égaie un peu la
promenade du passant…
Equipe :
Concept, Réalisation et Jeu :
Isabelle Bonillo
Dramaturgie : Corinne Uldry
Œil extérieur et Comédien
rabatteur : Philippe Thonney
Scénographe : Stéphane Le Nédic
Eclairage : Clément Reber
Costumes : Coralie Chauvin
Production : T-âtre Ibonillo
Quelques dates prévues
en 2015 :
Le mercredi 18 novembre, dès 8h
jusqu'à 14h env. : Pl. de l'Europe, Lausanne
Le mercredi 16 décembre, dès 8h
jusqu'à 14h env. : Pl. Chauderon, Lausanne
mardi 22 septembre 2015
Histoire du camion-chapiteau: le rêve de la roulotte
Quand j’étais petite, je voulais faire du cirque. Non pour travailler dans un cirque. Mais pour vivre en roulotte.
Je rêvais de vivre en roulotte et de me déplacer tout le temps.
Est-ce que mes ancêtres y sont pour quelque chose, eux qui, du côté Bonillo, ont fait faillite en Andalousie, et ont passé le Détroit de Gibraltar pour travailler à la construction du chemin de fer en Algérie et au Maroc ?
Toujours est-il que j’ai toujours rêvé de « l’ambulance du cirque »... Ce doit être mon côté romantique : Giulietta Masina, Fellini, La Strada.
Plus tard, lors de mes études de Philosophie à la Sorbonne (Maîtrise en Esthétique sur le Théâtre de la Décentralisation: Idéalisme ou Désespoir théâtral) et grâce à mes parents qui ont fait l’Ecole de théâtre de Strasbourg sous la Décentralisation, j’ai retrouvé cette roulotte, dans les tournées en province française, en la Roulotte d’André Clavé.
En schématisant beaucoup, à la fin du siècle dernier, l’Opéra du Peuple s’est dressé contre la culture bourgeoise.
Il a été question de démocratiser la culture, de considérer que la culture n’était pas faite que pour les Bourgeois, et que le petit peuple avait aussi droit à son divertissement.
Ce fut notamment le Théâtre de Bussang dans les Vosges, la Grange Sublime de Mézières, etc…
Plus tard, les Copiaux feront du théâtre en Bourgogne, Hubert Gignoux en camp de prisonnier, et les Daniel Sorano de toute la France travailleront à faire du théâtre dans leur région d’origine.
Encore plus tard, ce sera la politique culturelle de Jeanne Laurent, qui développera les Centres Dramatiques et les Maisons de la Culture dans toutes les provinces.
Et parmi tout cela, André Clavé et sa roulotte.
Les tournées de la Décentralisation étaient l’occasion d’amener le Théâtre aux gens qui n’y allaient pas forcément.
Quand j’avais 20 ans, et que je travaillais au Théâtre populaire de Marseille, mon père a conçu un Camion-Scène avec un chapiteau très lourd à monter.
Avec ce camion, nous avons joué en 1996 à Entrée libre pour un été, sur la Place St-Maur, Dom Juan d’Eduardo Manet et le Théâtre Enjeu (Evelyne Knecht).
Mon travail de comédienne au contrat, travaillant en Suisse, mais aussi en France, au Luxembourg, et en Espagne, m’a amenée à vivre en camping-car, car lors de tournées françaises de six mois, j’en avais marre de l’hôtel, où l’on ne pouvait pas prendre d’affaires.
Très vite, j’ai fait des spectacles avec le store, puis un store fermé par des copains techniciens. Ce fut Bagages et La Femme-escargot. C’était en 1998.
CHAPITEAU DÉPLIABLE
J’ai alors rencontré Emmanuel Dupasquier, dit Paxon, un des fondateur de la Case-à-Chocs de Neuchâtel, qui a été d’accord de le réaliser, et le don de la Loterie Romande du canton de Vaud a permis au projet de voir le jour.
Le chapiteau s’élève à l’aide d’un mât de 4m50, puis se déplie en demi-cercle sur le côté passager de la camionnette, englobant sa fenêtre et sa porte coulissante, pour jouer des apparitions et des disparitions. Tout est système de tirage pour la prise au vent, de dépliage, et de perches en alu coulissantes.
La camionnette est incluse dedans, et son côté conducteur joue le rôle de panneau publicitaire.
Il a besoin d’un espace de 8m./9m. au sol, soit 4 places de parking. Il est montable en 1h30 et démontable en 1h30.
Les chaises sont un lot de chaises de plage et de camping, faisant u99n gradin naturel de 3 hauteurs, répartissant le public : enfants et ados sur des chaises de plage proches du sol, adultes sur des chaises moyennes de camping, et dernier rang pour les « maux de dos » en chaises de camping plus hautes, confortables, avec accoudoirs.
C’est là que j’ai conçu un Camion-Chapiteau.
La bâche, ignifugée M2, devait être déjà sur les perches en aluminium (car la bâche, c’est très lourd), qui devaient être pliées sur le toit du camion.
Le chapiteau devait avoir le maximum de surface, mais pas trop grand non plus, pour être montable et démontable par les comédiens, sans trop les fatiguer.
Nous sommes tombés par hasard sur un métrage au cube qui, à 1m. près, nous évitait de payer 1’000 euros pour la commission française de sécurité : 49m2, je crois.
Le camion en "tapis-volant" |
10 ANS ET 11 SPECTACLES
2006 : Aube noire sur la plaine des merles, d’Anne-Lise Thurler, histoire de l’immigration d’un kosovar
CPO, Lausanne
Théâtre de l’Echandole, Yverdon
Festival de la Cité, Lausanne
CCN, Théâtre du Pommier, Neuchâtel
La Chaux-de-Fonds : Intégration pour tous
Théâtre du Moulin-Neuf, Aigle
La Caravane 2xNON : tournée dans tout le Canton de Vaud
Théâtre National de Luxembourg
2007 : La nuit au cirque d’Olivier Py, coproduction avec le Centre Dramatique de Basse-Normandie
Centre Dramatique de Basse-Normandie
Tournée de 2 mois dans le Bocage normand
Festival de théâtre itinérant de Villeneuve lez Avignon
Lausanne Estivale
Théâtre du Moulin-Neuf, Aigle
La Plage des six-Pompes de La Chaux-de-Fonds
Théâtre National de Luxembourg
dès 2008 : L’Avare d’après Molière
Lausanne Estivale
Théâtre de la Ville de Luxembourg (2009)
Villeneuve lez Avignon (2009)
Théâtre d’Esch, Luxembourg (2009)
Comédie de Genève : tournée d’un mois dans les quartiers, les écoles et les communes avoisinantes (2012, 2013)
Théâtre du Passage de Neuchâtel et tournée d’un mois dans les écoles et communes avoisinantes (2014)
2009 : L’Expo d’Isabelle Bonillo, expo sur un parcours théâtral
La Parfumerie à Genève
Lausanne Estivale
2011 : Après la pluie, de Sergi Belbel, sur la concurrence au travail
Pull Off Théâtre, Lausanne
Lausanne Estivale
Dandin à 3 |
Dandin, à 3, d’après Molière avec le Collectif Nunc, sur l’indépendance de la femme mariée
Tournées sur les places de Lausanne
Théâtre du Moulin-Neuf
2012 : Astérix à Aventicum, montage d’Isabelle Bonillo à partir de textes anciens de Sénèque, Pline le Jeune, Corneille, Molière, Plaute, Aulu-Gelle, en partenariat avec le Musée d’Avenches
Théâtre du Moulin-Neuf, Aigle
Musée d’Avenches : spectacle itinérant en plein air sur le site
Lausanne Estivale
Collège Sous-Ville, Avenches
2013 : Dogg’s Hamlet, de Tom Stoppard
Théâtre du Moulin-Neuf, Aigle
Lausanne Estivale
Espace Nordique des Mosses
2014 : Blanche-neige et les sets de table, sur l’exploitation par le travail
Théâtre du Moulin-Neuf, Aigle
Lausanne Estivale
Festival de Villeneuve lez Avignon
Fête des Couleurs, Aigle
La Plage des Six-Pompes de La Chaux-de-Fonds
Aigle Beach
Festival d’Aurillac, France (40 dates)
dès 2015 : Coppélia, montage d’Isabelle Bonillo à partir d’Hoffmann, du livret de Nuitter, et de la musique de Léo Delibe, sur la vente d’automates et la technologie
Théâtre Waouw, Aigle
Place St.Maur, Lausanne
Aigle Beach
Théâtre National de Luxembourg (2016)
Frontière : les coudes d’Isabelle Bonillo, commande d’écriture de la Comédie de Genève avec le soutien de la SSA et des Maisons Mainou, sur les gens du Nord et le combat de 2 coudes
Théâtre Waouw, Aigle
Lausanne Estivale
Isabelle Bonillo et Philippe Thonney, "Les Coudes" |
2016 : Qui veut jouer au Grand Méchant Loup ? d’Isabelle Bonillo, spectacle interactif sur un Petit Chaperon Rouge contemporain, avec le soutien de la SSA
Théâtre Waouw, Aigle : 17-20 mars
Lausanne Estivale : 15-21 juin
Théâtre de Colombier, Neuchâtel : 25 juin
Le camion support à dessins et espace de jeu |
T-âtre IBonillo, fondé en 1996, est soutenu par la Loterie Romande (VD), l’Etat de Vaud, la Ville de Lausanne, Ernst Göhner Stiftung, Migros-Vaud, SIS, la SSA et le Théâtre Waouw
Le camion comme support à dessins et lieu de jeu.
Inscription à :
Articles (Atom)